Clever Age se lance à la conquête de l’Ouest !

Publié le Mis à jour le

Clever Age ne s’arrêtera donc jamais ? Après avoir lancé son agence de Genève en 2012, puis celle de Hong Kong en 2014, c’est la «belle province» du Québec qui attire toute son attention en 2015. Elle vient en effet de lancer une mission d’exploration du marché Québécois qui doit mener très prochainement à l’ouverture d’une première agence canadienne.

C’est Xavier Rivoire, fort de son expérience de lancement de plusieurs agences pour Clever Age qui pilote le projet canadien depuis la France, assisté de Didier Navez, basé à Montréal et qui a accepté de jouer l’explorateur local. Nous leur avons posé quelques questions :

Quels sont les objectifs affichés par Clever Age au Québec ?

Xavier : L’intention de Clever Age est d’offrir aux grandes et moyennes entreprises québécoises toute la gamme de prestations et d’expertise qu’elle offre déjà sur ses autres marchés, en intervenant sur toute la chaîne de production digitale : élaboration de la stratégie marketing digitale, aide au choix de solutions, réalisation de projets, fourniture d’expertise technique, audit de performance et amélioration des dispositifs existants, gestion de la présence et de la réputation des sociétés ou des marques sur internet.

Pourquoi le choix du Québec pour une première implantation de Clever Age sur le continent nord-américain ?

Didier : Il y a une longue histoire entre le Québec et la France. Plus de 400 entreprises françaises y ont déjà un siège social, ce qui fait de la France la deuxième plus importante source d’investissement au Québec et la troisième au Canada. Certaines bannières y sont très connues comme Air France, Ubisoft, Alstom, Sanofi-Aventis ou L’Oréal. Mais ce sont aussi les stationnements du centre-ville où on laisse sa voiture pour la journée (Vinci), la carte à puce du métro de Montréal (Ascom), les cafétérias de bureau (Sodexho), les lunettes (Essilor), les équipements de l’usine de filtration municipale (Veolia) ou encore les autobus du Groupe Orléans qui font la navette entre les villes du Québec (Keolis). Clever Age perpétue cette tradition en s’implantant d’abord au Québec.

Ouvrir une agence au Québec est une première étape de votre développement outre-atlantique, n’est-ce-pas ?

Xavier : Effectivement, Clever Age ne cache pas son ambition d’un développement futur sur le continent nord-américain, et cette implantation restera très certainement à terme sa base historique sur le continent, s’appuyant entre autres sur les liens culturels et linguistiques forts qui unissent la France au Québec

Quels seront les principaux atouts de Clever Age au Québec ?

Didier : En premier lieu, son ancrage francophone couplé à un positionnement complètement indépendant par rapport aux technologies et aux fournisseurs, autorisant les experts Clever Age à intervenir très en amont des projets et à assister ses clients dans leurs choix technologiques en toute impartialité. En second, l’intégration des compétences nécessaires au bon déroulement d’un projet digital, depuis la stratégie, jusqu’à la réalisation et même le suivi et la maintenance des solutions mises en oeuvre.

Quels domaines d’intervention anticipez-vous comme les plus prometteurs pour Clever Age dès son démarrage au Québec ?

Didier : Le marché Québécois du commerce en ligne présente à la fois un défi et une opportunité majeurs pour les entreprises québécoises et pour Clever Age. Une étude récente du CEFRIO rapporte qu’un adulte sur 2 au Québec a acheté en ligne en 2014, 1 adulte sur 4 a acheté en ligne au cours du mois précédent l’étude et a dépensé en moyenne 295$. Ce n’est pas négligeable. Les achats effectués à partir d’un mobile (y compris les tablettes) ont même  augmenté de 8% en 2012-2013 à 21% en 2014-2015, ce qui est très remarquable. Donc l’opportunité est bien là mais par contre,  la grande majorité de ces achats en ligne ont été effectués sur des sites hors-Québec avec seulement 25 % des dollars dépensés en ligne  sur des sites québécois, comparativement à 10 % sur des sites canadiens et 48 % sur des sites américains.  Il s’agit donc là aussi d’un défi pour les entreprises québécoises. Clever Age compte apporter toute son expertise pour accompagner les entreprises désirant augmenter leur présence dans le commerce en ligne et dans le domaine de la mobilité en particulier. Sans oublier bien sûr toutes les entreprises actives dans les secteurs du B2B qui présentent un potentiel extrêmement important et encore très souvent peu exploité pour ce qui est du commerce électronique.

Contacts:

Xavier Rivoire : xrivoire@clever-age.com https://fr.linkedin.com/in/xrivoire

Didier Navez : dnavez@clever-age.com  https://ca.linkedin.com/pub/didier-navez/0/539/372