La « Facebook Fatigue », un virus contagieux ?

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Que ce soit par sondage empirique autour de soi ou en parcourant diverses études, le phénomène prend de l’ampleur. On lui a même donné un nom : la « Facebook Fatigue ». Il faut avouer que le passage forcé à la page personnelle au format Journal (Timeline), dont l’intérêt n’est pas compris par grand monde (help needed ! pour ma part), n’est pas franchement une réussite. Personnellement, je suis irrité de voir ma vie résumée à mon activité Facebook. J’aime pas !

Côté étude plus factuelle, la dernière Wave de GlobalWebIndex montre une érosion du phénomène:

  • Le nombre d’inscrits sur Facebook ne progresse plus que dans les pays émergents. Le déclin est entamé aux US ;
  • La quasi-totalité des interactions par profil (envoyer un message, jouer à un jeu, faire des cadeaux, etc…) diminuent depuis un an.

Enfin, si on ajoute le montant délirant de la transaction du rachat d’Instagram: 1 milliard de dollars (à priori négocié en 3 jours par Mark Zuckerberg, sans aucun conseil externe) pour une boite créée il y a 18 mois et comptant 9 salariés … On se dit qu’on ne vit tellement pas dans le même monde et que le divorce est peut-être la solution.